Il sait bien qu’il doit s’arracher sans envie de ce matin aussi doux et rassurant qu’une vieille connaissance, et dans lequel il aimerait qu’on le laisse traîner encore, qu’on le laisse là, qu’on l’oublie là un instant.
Alors il attend la fin du matin à ne rien faire que regarder la pièce et les choses qui l’entourent. Et quand le jour inévitablement se pointe, il finit par quitter les lieux au son de vieilles musiques qui redonnent quelques couleurs à des histoires classées, depuis le temps.