A rester planté sans cesse sur le quai à l’heure du premier train, à sentir passer sur son visage le souffle imposant de l’un qui part sur la droite, et de l’autre qui arrive sur la gauche, il se dit qu'il voudrait monter dedans, même sans valise, même sans idée et sans conscience, juste pour l'interminable plaisir de quitter le quai.