Les gens passent autour silencieusement, se figurant sans doute que vous êtes en train de prier douloureusement planqué à l’écart sur votre petite chaise, alors que non vous êtes juste en train de vous reposer un peu du bruit extérieur, les yeux fermés devant les bougies d’un saint quelque-chose. Et vous pouvez rester comme ça dans une paix royale autant que ça vous dit sans qu’on vous regarde une seule fois de travers. Celui-là comate gentiment sans bouger et sans complexe depuis un long moment, comme si ici tout était sous contrôle, comme si son sommeil était à l’abri de toutes les épreuves qui de toute façon ne franchiraient jamais cette porte.

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